A notre gauche, au pied du Perron séculaire, la Darse de l'amirauté, exquise à toute heure en son apparent abandon, retirée hors de la fièvre du grand port pourtant si proche, et qui a sû garder un peu de son aspect d'autrefois, un peu du reflet barbaresque et l'ultime souvenir des vieux maîtres espagnols
dimanche 1 juin 2008
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